di Claude Nougaro e Michel Legrande
Sur l'écran noir de mes nuits blanches,
Moi je me fais du cinéma
Sans pognon et sans caméra
Bardot peut partir en vacances
Ma vedette c'est toujours toi
Pour te dire que je t'aime
Rien à faire, je flanche
J'ai du coeur mais pas d'estomac
C'est pourquoi je prends ma revanche
Sur l'écran noir de mes nuits blanches
Où je me fais du cinéma
D'abord un gros plan sur tes hanches
Puis un travelling panorama
Sur ta poitrine en grand format
Voilà comment mon film commence
Souriant, je m'avance vers toi...
Un mètre quantre-vingts,
Des biceps plein les manches,
Je crève l'écran de mes nuits blanches
Où je me fais du cinéma...
Te voilà déjà dans mes bras...
Le lit arrive en avalanche....
Sur l'écran noir de mes nuits blanches
Où je me fais du cinéma,
Une fois, deux fois, dix fois, vingt fois,
Je recommence la séquence
Où tu me tombes dans les bras...
Je tourne tous les soirs
Y compris le dimanche...
Parfois on sonne, j'ouvre, c'est toi...
Vais-je te prendre par les hanches
Comme sur l'écran de mes nuits blanches ?
Non, je te dis "comment ça va ?"
Et je t'emmène au cinéma.
1 commento:
Caro Ale,
grandiosa! Un autentico esempio di canzone in tre atti: sogno (Moi je me fais du cinéma) , descrizione e attuazione del sogno (D'abord un gros plan sur tes hanches) , risveglio e rientro alla realtà (Parfois on sonne, j'ouvre, c'est toi) . E la chiusa, geniale: Et je t'emmène au cinéma . Adesso che ci penso, mi viene in mente un celebre e divertentissimo film di Caude Zidi con Jean-Paul Belmondo e Jacqueline Bisset - e anche Vittorio Caprioli nel doppio ruolo dell'editore e del cattivo Karpov - , Le Magnifique , dove vi sono scambi continui fra il sogno e la triste realtà. Qui il link dell'inizio del film:
http://www.youtube.com/watch?v=OhsJPhCNc2E
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